Publications sur Vidocq - Retour au Sommaire Bibliographique - Bandes dessinées sur Vidocq
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Une revanche de Vidocq Les aventures de Vidocq vue par le romancier d'aventures Louis Noir (frère du journaliste républicain Victor Noir qui fut tué par le Prince Pierre Bonaparte). Pour plus d'informations sur Louis Noir, voir l'excellent site de Mr Matthieu Letourneux sur le roman d'aventure ainsi que le petite biographie sur un site sur Bois-Le-Roi. |
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La plus
grande lutte de Vidocq
Episode inventé des aventures de Vidocq.
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Vidocq
Livre ayant donné naissance au film "Vidocq" de 1922. Outre Vidocq, Arthur Bernède est surtout connu pour avoir écrit plusieurs oeuvres policières dont le fameux "Belphégor". |
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Vidocq
Résumé romancé de la vie de Vidocq dans la série "Les Grands Flibustiers"
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Le
cavalier de croix-mort ou Le vinaigre des 4 voleurs
Livre ayant donné naissance au film "Le cavalier de croix-mort" de 1947. Résumé : L'histoire se déroule
dans la région des Hautes-Alpes dans les années 1816 alors que Vidocq
est à la tête de la brigade de sûreté parisienne depuis 5 ans. C'est dans ce contexte qu'intervient Vidocq qui est
présenté assez fidèlement. Pour dénouer l'intrigue, il n'hésitera pas à
faire usage du déguisement et à utiliser toutes les ficelles qui ont
fait le succès de ses enquêtes. |
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Les
aventures de Vidocq
4ième de couverture : "François VIDOCQ eut un haut-le-coeur devant le spectacle qui s'offrit à lui en entrant dans la cour de la prison de Bicêtre : des hommes, grelottant de peur et de froid attendaient d'être ferrés. Il y avait là des criminels endurcis, des brutes sans foi ni loi, mais aussi des hommes condamnés pour de simples peccadilles. VIDOCQ, lui, ne se rappelait plus très bien quel crime il devait expier. En fait, il n'avait jamais tué personne. Pris pour une première fois par erreur, il s'était évadé de prison; repris, il avait réussi à se délivrer de ses fers; emprisonné pour une troisième fois, il avait encore faussé compagnie à ses gardiens en les bernant avec un brio extraordinaire. Depuis le jeu continuait... un jeu terriblement dangereux où VIDOCQ, le bandit au grand coeur, risquait sa vie en tenant tête à l'inspecteur Flambart, son ennemi acharné." |
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Les nouvelles aventures de
Vidocq
Livre qui retranscrit la série télévisée du mme nom. On y trouve les aventures suivantes : "La caisse en fer", "Les trois crimes de Vidocq", Les chevaliers de la nuit", "Les chauffeurs du Nord" et "Les banquiers du crime". Tous les dialogues de la série y sont retranscrits. |
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Le détective volé René Réouven - 1988 - Denoël[Collection personnelle] 4ième de couverture : "Le chevalier Dupin créé par Edgar Poe a-t-il inspiré Sherlock Holmes ? On ne s'est pas privé de le dire au point que Conan Doyle agacé envoie ses héros enquêter sur ce mystérieux personnage.Dans le Paris de 1833, décor de La Lettre volée, ils ne retrouvent pas Dupin mais rencontrent un assassin hors du commun nommé Lacenaire, ainsi que le premier "privé" de l'histoire, ancien bagnard, ancien chef de la sûreté, François Vidocq. Puis à la recherche de Poe lui-même, les voici dans l'Amérique de 1849 où ils élucident la mort mystérieuse du grand poète grâce à une analyse mouvementée du Mystère de Marie Roget. Pour Sherlock Holmes et Watson une périlleuse course-poursuite entre la réalité et la fiction"
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Les chevauchées du Capitaine de Betz
4ième de couverture : "1820: Alexandre de Betz, ancien officier de la Grande Armée, poursuit sous la Restauration une obscure carrière dans la gendarmerie royale. Têtu, bougon, cynique, il se considère au service d'une justice qui doit sanctionner le duc ou le banquier autant que le laboureur ou le l chemineau. Dans le Périgord des croquants encore apeurés par la terreur blanche, dans le Berry des maléfices et des envoûtements, dans le Paris de Vidocq, archétype des policiers pourris, Alexandre, à force de traquer et de mettre aux fers la pègre des barrières et des bois, remonte jusqu'aux salons, aux châteaux et aux marches mêmes du trône. Car rien n'arrête un capitaine de gendarmerie... Et ses chevauchées fringantes, de mystère en mystère, nous dessinent un étonnant tableau de la France du XIXe siècle. l'auteur, né en 1929, a écrit de nombreux romans policiers. Les Chevauchées du capitaine de Betz est son premier roman historique." Un assez bon roman même si le personnage principal est peu attachant : c'est un gendarme assez rustre qui n'hésitera pas à exécuter de ses mains 2 femmes (une meurtrière et sa complice) sans autre forme de procès. Quant à l'intervention de Vidocq, il est purement et simplement traité comme un homme de main à la solde de Talleyrand qui n'hésite pas à faire organiser un meurtre par ses hommes. Même dans les plus grands délires qui ont pu naître de la jalousie provoquée par Vidocq en son temps, jamais une telle accusation n'a été évoquée. Le seul intérêt est l'intervention de Canler qui fut l'un des plus farouches adversaires de Vidocq et de ses méthodes. Ce "père-la-vertue" prendra plus tard la direction de la sûreté parisienne (comme quoi discréditer les gens peut être parfois payant). |
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"L'homme au fiacre"
et "Le voleur de tête" De l'auteur de la célèbre "Compagnie des glaces". C'est dans ces 2 épisodes de l'excellente série des aventures des frères Roquebère que l'on croise un Vidocq opportuniste au portrait peu flatteur. Quelques erreurs concernant ces apparitions de Vidocq :
A lire absolument !! |
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Série X Vidocq
D'abord un peu rétissant à la lecture de cet ouvrage, j'ai été agréablement surpris de voir que ces aventures de Vidocq suivaient en fait de façon très documentée les vraies Mémoires de Vidocq, on y retrouve les noms, les lieux, les péripéties, bref, toute la trame du récit des Mémoires. La seule particularité est l'insertion des scènes érotiques (en fait carrément pornographiques) au cours des rencontres féminines de Vidocq. Vidocq y est un super étalon que rien n'arrête dans le domaine du sexe. Au final, pas si désagréable que ça à lire. La collection se compose de 4 ouvrages : |
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Pandemonium
"Pandémonium nous plonge en plein coeur de Paris en 1832. Un jeune écrivaillon Frédéric trouve en arrivant chez lui deux hommes du fameux patron de la brigade de sûreté, Vidocq. Aussitôt emmené devant lui, il apprend que son nom figure sur une mystérieuse liste " oubliée " par une équipe de cambrioleurs sur les lieux de leur forfait. Deux problèmes se posent alors. Qui sont ces malfrats propriétaires du papier et voleur d'une maquette d'un fort de Vauban ? Que fait le nom de Frédéric sur cette liste et pourquoi en est-il le seul vivant ? Des mystères qui intriguent Vidocq autant que notre jeune héros. Cela a-t-il un lien avec ce mystérieux prince qui va dans quelques pages l'inviter à une réception fastueuse pour des raisons inconnues ? Notre homme n'est pas au bout de ses surprises. (Résumé trouvé sur le net ) " Franchement....bof ! |
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La vérité
sur la rue Morgue
4ième de couverture :
"Edgar Allan Poe
a-t-il vécu à Paris ? En tout cas, il y situe trois de ses Histoires
extraordinaires, " Double Assassinat dans la rue Morgue ", " La Lettre
volée " et " Le Mystère de Marie Roget ", trois récits qui n'ont
apparemment d'autre lien entre eux que leur protagoniste, le fameux
Dupin, un des modèles probables de Sherlock Holmes, et la ville de
Paris. Bof...un mélange qui ne vaut pas les histoires originales de Poe. |
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Les
Ogres de Montfaucon
4ième de couverture de François Ducos : "Au départ, il y a Edgar Poe et la trilogie du chevalier Auguste Dupin :" Double assassinat dans la rue Morgue " (1841), " Le Mystère de Marie Roget " (1842-1843), " La Lettre volée " (1844), trois contes traduits par Baudelaire qui les inclura dans Histoires extraordinaires et Histoires grotesques et sérieuses. Ces nouvelles, éditées sans interruption, sont à 1a base du roman policier moderne. Dans le Paris mouvementé de la Monarchie de Juillet, elles mettent en scène un enquêteur privé, Auguste Dupin, dont les seules facultés d'observation et d'analyse lui permettront de venir à bout de redoutables énigmes judiciaires. Malheureusement, le lecteur avide des exploits de Dupin, dut se contenter de ces trois textes jusqu'en 1968, année ou le Britannique Michael Harrison publia un premier recueil de nouvelles aventures, paru en France sous le titre Le Retour du chevalier Dupin (1990). Maintenant, voici Gérard Dôle et ses Ogres de Montfaucon, ou comment l'illustre Auguste Dupin va nous éblouir à treize reprises. Des hommages inédits, mais pas des imitations, car ici le Paris historique se trouble pour laisser passer l'étrange et fantasmagorie - ce n'est pas pour rien que l'auteur est aussi celui des nouvelles aventures de Harry Dickson. En résumé, beaucoup de mystère et parfois une touche de fantastique, jusqu'à la surprise finale qui devrait ravir les nombreux passionnés de Sherlock Holmes." Le Cauchemar Mandchou
4ième de couverture de François Ducos : "Créé par
Joseph Sheridan Le Fanu, le Dr Martin Hesselius, qu’on peut considérer
comme le premier authentique détective des Ténèbres, apparaît en 1869
dans "Le Thé vert", une nouvelle faisant partie d’un ensemble où figure
également "Carmilla", le chef-d’œuvre de la littérature vampirique. J'ai appris par l'auteur d'un site sur Gerard Dôle que Vidocq apparaissait dans ces deux ouvrages ("Le cauchemar mandchou" contient même le texte d'une lettre de Vidocq adressée à Paul Féval en 1849). Je dois donc en entreprendre la lecture. Pas encore lu. |
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Le Carnaval des enclonés Richard Bessière - 2007 - éditions Rivière Blanche [Collection personnelle] 4ième de couverture : " Au XXVème siècle, l'humanité a été balayée de la surface de la Terre par une série de cataclysmes. Mais ses machines infatigables ont alors entrepris de cloner ce qu'elle avait enfanté de meilleur-et de pire ! C'est ainsi qu'aux côtés d'Albert Einstein et d'Al Capone, de Vidocq et d'Henri III, de Robin des Bois et des Frères Dalton se retrouve Dan Seymour, l'Agent Spatial No. 1 du XXIème siècle, ressuscité dans un monde fou du futur, véritable brocante galactique de l'histoire de l'humanité, le CARNAVAL DES ENCLONES..."A lire pour l'humour et le style, plus que pour l'évocation de Vidocq.
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Vidocq Michel Peyramaure - 2007 - Robert Laffont [Collection personnelle] 4ième de
couverture : "Jean Valjean dans Les Misérables, c'est lui... Vautrin dans La
Comédie humaine, c'est encore lui. Eugène Sue et Alexandre Dumas ont
puisé dans ses Mémoires et ses confidences. Alors, la vie de François
Vidocq, ancien forçat devenu chef de la brigade de Sûreté de Paris, une
mine inépuisable pour les romanciers ? Sans doute. Un génie, le Napoléon
de la police, comme on l'a écrit ? Peut-être. Dans ce roman, Michel
Peyramaure s'est attaché avant tout à rechercher la vérité de cet homme
au destin extraordinaire, partagé entre la légende et l'histoire. Vidocq
a mis à la mode la littérature de bagne et les grandes enquêtes
criminelles. Il avouera avoir trop aimé les duels (dans sa jeunesse) et
les femmes (toute sa vie). Les femmes... Quelques ombres légères
traversent ces pages : la Marioune... Annette... Fleuride... Lisa...
Ce roman de Peyramaure représente un
bel hommage à Vidocq pour les 150 ans de sa mort. |
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Le secret de Maxime Navarre Michel Dodane - 2009 - éditions Albin Michel
4ième de couverture :
"En 1830, en
Franche-Comté, les parents du petit Maxime Navarre sont assassinés sous
les yeux du garçon, qui parvient à échapper aux meurtriers. Traqué,
apeuré, l’enfant se lance sur les routes, fuyant sans trêve ni repos un
ennemi aussi mystérieux qu’implacable, acharné à sa perte. Paris, ses
pièges et ses sortilèges, l’attendent. Il y rencontrera Dumas, George
Sand, Chopin, Vidocq et même le roi Louis-Philippe, pour les plus
illustres. Un ancien hussard, une fille publique et une troupe de
saltimbanques pour les plus humbles.
Pas encore lu. |
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La tour noire
4ième de couverture : " Paris, 1818. Les expériences révolutionnaires et napoléoniennes ont vécu. Dans un pays en pleine confusion politique, les Bourbons, en la personne de Louis XVIII, sont de retour sur le trône. C’est dans ce contexte politique et social trouble qu’Hector Carpentier, un jeune étudiant en médecine, est soupçonné du meurtre d’un inconnu. Mais le directeur de la Sûreté nationale, François Eugène Vidocq, doute de la culpabilité d’Hector.Personnage mystérieux, féru d’investigations scientifiques et d’espionnage, Vidocq doit mettre tous ses talents en œuvre lorsqu’il comprend que l’affaire est liée à la disparition du Dauphin, Louis XVII, officiellement mort en 1795 à l’âge de dix ans à la prison du Temple, construite cinq siècles plus tôt par les Templiers. Alors qu’un tueur mystérieux continue à sévir dans les rues de Paris, commence pour Vidocq, secondé d’Hector, une enquête passionnante. Avec une intrigue mêlant politique, histoire et conspiration, et une reconstitution magistrale du Paris de l’époque, Louis Bayard nous offre, après Un œil bleu pâle, un thriller historique de tout premier ordre, aux rebondissements incessants, à la tension et au suspense d’une rare intensité." Un très bon roman historique avec un Vidocq truculent et somme toute relativement réaliste. Je regretterai juste un manque de détail dans les descriptions du XIXe (la référence étant pour moi la série des frère Roquebère de Georges J. Arnaud). Je le conseillerai à tout amateur de Vidocq et de roman historique.
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Le duc d'Otrante et les
compagnons du Soleil
4ième de couverture : "Choisie par les Jacobins pour incarner la déesse Raison, la jolie Fassy est massacrée dans la prison d’Aix en 1795 lors d’une insurrection contre-révolutionnaire. Quatre ans plus tard, Camille de Clapiers, général des Compagnies du Soleil qui se bat pour le retour de la monarchie, est arrêté et fusillé en dépit des efforts désespérés de son ami de toujours, Gabriel de Montfort, qui aura tout tenté pour le libérer. Ce dernier, recherché par la police impériale, se réfugie à Londres où il se met au service des Premiers ministres William Pitt et Spencer Perceval. De son exil, il n’a de cesse de poursuivre sa lutte contre le Consulat et l’Empire mais son dessein est de rentrer en France pour venger Fassy et son ami Camille. Il se rapproche d’une société secrète qui prépare un complot pour renverser Bonaparte et devient leur espion. De retour à Aix, il croisera la route de Joseph Fouché, duc d’Otrante et ancien ministre de la police, de Vidocq, le bagnard devenu policier, et des Compagnons du Soleil dont il devra déjouer les intrigues au cours d’une lutte à mort.Jean d'Aillon est né en 1948 et vit à Aix-en-Provence. Docteur d'Etat en sciences économiques, il a fait une grande partie de sa carrière à l'Université, puis dans l'administration des Finances. Responsable durant plusieurs années de projets de recherche en économie, en statistique et en intelligence artificielle au sein de la Commission européenne, il se consacre aujourd’hui à l’écriture et à sa passion pour l’Histoire.". Pas encore lu.
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Vidocq, une vie...deux destins
4ième de couverture : "François Vidocq, le plus extraordinaire personnage du XIXe siècle, aussi bien voleur que geôlier, à été le plus habile des agents secrets sous Napoléon 1er, Louis XVIII et Charles X. Tous ses amis, Alexandre Dumas, Lamartine, Eugène Sue, Balzac, ont subi son influence. Il aidera les bonapartistes sous le second empire et Napoléon III...L'auteur retrace le parcours exceptionnel de cet homme, ami et terreur des malfaiteurs, dépassant un quelconque James Bond, démissionnant deux foix de son poste de Chef de la sûreté, puis créant un bureau de renseignements. Nous revivons le décès troublant du Prince de Condée et la "chevauchée" nationale de la Duchesse de Berry.
Nous retrouvons la
famille de Couesnon mêlée à cette épopée. Dans la tourmente du 19e
siècle. Aubin, le fils, a rejoint la brigade de Vidocq... En 1827, c'est
l'expédition en Algérie et la bataille d'Alger." Je n'ai pas encore commencé cet ouvrage mais n'ai fait que le feuilleter et quelle ne fût pas ma surprise d'y voir paraphraser et même copiés des passages entiers de mon site !!, chose qui ne me dérangerait pas outre mesure si une petite référence à celui-ci avait été faite dans la bibliographie. Mais que nenni !! Pas même une référence à un ouvrage qui traite de Vidocq (au minimum ses mémoires !! bien que de nombreuses informations ne figurent que dans les ouvrages de Jean Savant, de Maurice Barthélémy et sur internet via mon site, aucune référence non plus à ces sources !!). Quand on se dit romancier, et que l'on a l'audace de mettre un copyright sur son ouvrage, on respecte au moins le travail des autres !!...c'est un minimum !. Vidocq n'est pas une marque de produit dont on se sert pour vendre du papier ! J'ai laissé mon site volontairement "ouvert" mais l'utilisation de passage à des fins commerciales me gêne quand même un peu. Autant dire que cette première constatation ne me donne pas très envie de lire le contenu de ce livre et d'emblée je ne le conseillerai pas aux vrais amateurs de Vidocq.
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La Canine impériale
4ième de couverture : "1853. Monsieur et madame Badinguet sont à peine installés aux Tuileries que le pavé parisien regorge de cadavres exsangues. Vidocq et Renan mènent l’enquête, secondés par Prosper Enfantin, les saint-simoniens et l’énigmatique Van Helse. Sans oublier Anaïs, Élisabeth et la marquise de Las Maresmas, bien décidées à en remontrer aux hommes pour l’efficacité de la chasse anti-V. Nos vaillants détectives devront affronter de terribles non-morts : Ninnah et Jonathan, les Américains du Vampire de Wall Street; l’ignoble Hochepot, un protégé de Morny; et l’archivampire Torquème, un exorciste dévoyé qui ne craint ni l’ail ni les crucifix.Dans cette fresque historique épatante, le lecteur croisera la route du cabaretier Mimile, de sa mère Minette la bouquetière octogénaire, ainsi que du sombre Al-Qâsim, adepte de Tôt-Draa, la divinité chauve-souris. Toute une foule de personnages habite le récit: le zouave Jacob; les clochards Peau-de-Lapin, Vingt-Sous et Bouche-Trou; l’énigmatique professeur Rongne; la céleste soeur Léonice; la délicieuse Pauline, adepte de la tatane normande; le jeune Peabody, qui découvre les charmes de la capitale; le prêtre interdit Lardennais, ancien compagnon de séminaire de Renan... "
Vidocq contre des
vampires...cela peut être intéressant (même si historiquement, en 1853,
Vidocq n'était pas eu mieux de sa forme puisque c'est cette année qu'il
manqua de mourir du choléra). Pas encore lu. |
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Vidocq et l'affaire Talleyrand-Périgord Jean-Charles Malet - Mars 2012 - éditions Alice Lyner
4ième de couverture :
"Janvier
1822. Vidocq, l’ancien forçat devenu policier est convoqué au ministère de la
police. Lorsqu’un ministre vous convie dans son bureau soit vous allez passer un
sale quart d’heure, soit, après de brèves flatteries, il vous confiera une
mission qui risquera de ruiner votre carrière si vous n’êtes pas en mesure de la
mener à bien jusqu’à son terme. Vidocq en avait vu d’autres. Inutile de
s’alarmer pour si peu.
Ce roman est une vraie bonne surprise au regard de la déception qu'avait
suscitée le livre de JC Guiborel paru l'an dernier (comme quoi tous les "JC" ne
se ressemblent pas !). Avec "La Tour Noire", c'est mon roman préféré mettant en
scène Vidocq. Pour un premier roman, je le trouve excellent. PS : Je ne touche aucun pourcentage sur les ventes ;-) |
AMBIANCES VIDOCQUIENNES Cette section bibliographique comprend des romans qui se déroulent à l'époque de Vidocq sans pour autant faire référence au personnage. |
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Le Crime du pont neuf Jacques Dianajan - 2008 - éditions editeurindependant.com [Collection personnelle] Résumé : "Paris, les années 1830, sous la Monarchie de Juillet: le sergent Ramuzot constate la noyade d’un corps, retrouvé par un jeune batelier. Il s’agit d’une femme issue de la bourgeoisie dont les blessures s’apparentent à une signature. Du haschisch est retrouvé sur elle.Le jeune inspecteur de police Nicolas Bertillon et son sergent vont enquêter dans les milieux littéraires, le club des Haschischins, parmi les francs-maçons et vont finalement remettre en question le jugement d’un procès politique historique." |
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Madame Vidocq Henri Tessier - 1889 - éditions E. Dentu [Collection personnelle] Résumé : "xxxxxxxxxxxxxxxxxxxxxx"
Pas encore lu mais le titre m'interpelle assez ! |
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